Chien en camping-car : nos astuces et conseils pour voyager
Cela fait dix ans que nous explorons le monde en camping-car et savourons une liberté totale. Puis, en 2024, notre chien Ulysse a rejoint l’aventure ! Qu’est-ce que cela a changé pour nous ? Quels sont nos meilleurs conseils pour habituer un chien à la vie sur les routes ? Suivez le guide !
À l’heure où nous écrivons, Ulysse a un an de voyage en camping-car. Cet article sera mis à jour régulièrement.
- Avoir un chien en camping-car : Rêve ou véritable défi ?
- Border collier, le meilleur chien pour partir en camping-car ?
- Chiot en camping-car : comment réussir l’adaptation ?
- Emmener son chiot en van ou camping-car : un atout pour la socialisation
- Logistique : Où mettre son chien dans un camping-car ?
- Comment transporter son chien en camping-car ?
- Conseils pour voyager avec un chien en camping-car
- Canigourmand : Le coup de cœur d’Ulysse
- Ce que voyager avec un chien a changé pour nous (pour l’instant)
Avoir un chien en camping-car : Rêve ou véritable défi ?
L’idée d’avoir un chien en camping-car me séduisait depuis toujours. Mais, une question demeurait : Aurais-je suffisamment de temps à lui consacrer ? Pour Simon, c’était une autre histoire : il avait à l’origine un peu peur des chiens et voyait surtout les freins, comme :
- Le manque de place dans notre camping-car ;
- Le stockage des affaires du chien ;
- Les coûts des soins vétérinaires et frais additionnels (transport, hébergement).
- Les restrictions d’accès dans certains lieux ;
- L’organisation supplémentaire
Peut-on emmener un chien dans un camping-car ?
Malgré ces hésitations, après dix ans de voyages en camping-car, Simon a fait une concession pour ma plus grande joie.
Dire que cela n’a strictement rien changé à notre façon de voyager serait faux. Mais, le bonheur d’avoir notre loulou au quotidien vaut largement les petits ajustements que nous avons faits.
Border collier, le meilleur chien pour partir en camping-car ?
Ulysse est un border Collie, une race de chien de berger originaire de la frontière entre l’Angleterre et l‘Écosse, les “Scottish Borders”. Pourquoi un Border Collie ?
Eh bien, en dix ans d’attente, on a eu le temps de se projeter. C’est une race de chien qui m’a toujours mis des étoiles plein les yeux. Énergique, joueur, intelligent, soif d’apprendre et complice avec ses maîtres, c’est vraiment ce que j’attendais de la compagnie d’un chien.
Et, par chance, c’est aussi la race qui savait apaiser les petites appréhensions de Simon vis-à-vis des chiens.
Quelle race de chien pour vivre en van ?
En réalité, je ne suis pas sûre qu’il existe une race idéale pour vivre en camping-car ou en van. L’essentiel est de choisir un chien adapté à votre rythme de vie et il faut se renseigner.
Un Border Collie, par exemple, exige du temps, de l’investissement et beaucoup d’énergie… Mais pour nous, c’était parfait étant donné notre passion pour la nature et les activités extérieures.
Chiot en camping-car : comment réussir l’adaptation ?
Un conseil cependant, il est préférable d’habituer les animaux de compagnie dès leur plus jeune âge à ce mode de vie nomade pour que tout se passe au mieux. Plus le chien est âgé, plus l’adaptation peut être difficile (mais rarement impossible).
Mais, avec de la patience et des habitudes progressives, j’ai tendance à penser que même un chien adulte pas à l’aise au départ peut s’adapter.
Éviter le mal des transports
Il existe des solutions, par exemple, pour éviter le mal des transports. Des traitements homéopathiques peuvent aider, et dans certains cas, consulter un comportementaliste permet de mieux accompagner cette transition.
Dès ses deux mois, Ulysse a donc commencé à voyager en camping-car avec nous. De l’Ardèche à la Laponie suédoise, en passant par les Dolomites à bord du fourgon Atlas 603 G, il a appris à gérer les vibrations de la route, les espaces restreints et, parfois, la solitude.
Ce mode de vie lui a offert une formidable occasion de se sociabiliser tout en développant une grande adaptabilité.
Ce n’est pas forcément évident, car il faut gérer cet apprentissage de la vie sur la route en parallèle de la socialisation.
Le camping-car comme le van est un avantage pour habituer nos animaux de compagnie à divers environnements et situations : plages, montagnes, villes, trains, ferries, interactions avec d’autres animaux. (Bien qu’il ne soit pas toujours évident de trouver d’autres chiens bien dans leurs pattes pour favoriser ce type de sociabilisation, mais ça, c’est un autre sujet…).
Il faut aussi dédier du temps au calme pour la propreté au tout début, les apprentissages de base, puis l’éducation globale, chose pas toujours facile non plus dans un espace restreint.
Cela implique pas mal de rigueur, surtout au départ. De même, il faut aussi les habituer à être seul de temps en temps (nous y reviendrons).
Gérer l’éducation au quotidien
Parallèlement aux voyages en camping-car, nous nous sommes beaucoup investis dans les cours d’éducation canine et les balades éducatives, qui nous ont permis d’apprendre et de créer une belle complicité avec Ulysse, mais surtout d’être à l’aise en toutes circonstances, avec différents congénères et différents individus.
Pour nous, c’est simple : Ulysse étant amené à voyager, il fallait qu’il soit bien dans ses pattes et donc, n’ait pas peur d’environnement différent et deviennent de plus en plus obéissant pour être tranquilles d’esprit par la suite.
Les échecs et les réussites
Bien sûr, tout n’a pas été parfait au départ. Petite liste loin d’être exhaustive : certaines premières rencontres, comme avec des vaches ou la vue d’un kayak ou d’une bouée, déclenchaient des aboiements incessants.
Il avait aussi une fâcheuse tendance (et à encore par moments) à courir après les voitures, sauter sur les gens, réagir un peu trop fort quand il n’était pas à l’aise. Lors de trajets en camping-car, il aboyait sans relâche pour être à nos côtés.
Bref on avait un chiot avec un caractère bien trempé 😅 !
Je dis ça pour rassurer ceux qui doutent. Bien que ce soit beaucoup d’amour au quotidien, il faut souvent de la patience et de la persévérance pour éduquer nos loulous, déjà dans un domicile fixe…
Alors en van, fourgon ou camping-car, le challenge peut être d’autant plus difficile. Mais, avec remise en question, constance et patience, tout finit par aller.
Et puis, malgré quelques difficultés, il n’a par exemple, jamais rien détruit dans le camping-car. Ni le mobilier, ni les fils de notre installation électrique, ce qui est un véritable soulagement dans un espace aussi restreint, mais aussi pour sa sécurité.
Logistique : Où mettre son chien dans un camping-car ?
Optimisation de l’espace
Pour ce qui est de l’espace de vie, il n’y a pas de miracle : voyager avec un chien nécessite d’optimiser chaque mètre carré et implique de lui faire une place. C’était un frein pour Simon, mais nous avons trouvé des solutions adaptées.
Si certains ont la chance d’avoir une soute spacieuse ou suffisamment d’espace, dans notre petit camping-car Hymer de 5 m², c’est loin d’être le cas.
Nous avons donc réservé un placard pour Ulysse avec ses croquettes chiot digestion sensible Ultra Premium Direct et ses affaires, afin de garder tout organisé et accessible.
Où dorment les chiens dans un camping-car ?
Dans la vie de tous les jours, on est un maximum dehors. À l’intérieur, c’est un peu le jeu des chaises musicales. Dans certains vans ou camping-cars, les chiens dorment à l’avant, sur le siège passager ou conducteur.
Pour nous, la routine est basique : nous abaissons la table de la dînette au moment du coucher. Cela sert de signal, et Ulysse prend place sur la banquette, où il dort paisiblement jusqu’au matin.
Comment transporter son chien en camping-car ?
En France, le code de la route ne prévoit pas de règles spécifiques concernant le transport des chiens.
Que dit le Code de la route ?
Cependant, selon l’article R412-6 :
« Tout conducteur doit se tenir constamment en état et en position d’exécuter commodément et sans délai toutes les manœuvres qui lui incombent. »
Cela signifie qu’un chien ne doit pas être en liberté dans l’habitacle s’il risque de distraire ou gêner le conducteur. Il est donc recommandé d’attacher son chien de manière sécurisé.
Niche pour chien en camping-car : une bonne idée ?
Nous avons d’abord tenté une caisse de transport souple et pliable achetée chez Decathlon ressemblant à une petite tente, dans l’idée de créer un espace sécurisé où Ulysse se sentirait rassuré pendant les trajets.
Si cette solution fonctionne pour certains chiens, avec Ulysse, ce fut un échec cuisant : il n’aimait pas être confiné.
Une ceinture et un harnais pour rouler en toute sécurité
Nous l’avons ensuite installé sur une banquette à l’arrière, avec son plaid, un harnais anti-traction, et une ceinture de sécurité spéciale, facilement disponibles en animalerie.
Cela lui permettait de voyager confortablement tout en étant protégé des vibrations de la route. Mais, fidèle à son caractère de Border Collie “pot-de-colle”, ce qu’il voulait vraiment, c’était être près de nous.
Siège d’appoint pour chien en camping-car
Actuellement, nous réfléchissons à installer un système de siège d’appoint. L’objectif serait qu’Ulysse puisse rester entre nous deux, s’allonger confortablement et regarder la route – une de ses grandes passions – tout en voyageant en toute sécurité.
Une rampe pour chiots ou chiens âgés
Aussi, au départ pour préserver ses articulations de chiot quand nous nous arrêtions, nous avons utilisé une rampe pliable lors des montées et descentes du camping-car. Ce dispositif est également très utile pour les chiens âgés, afin de leur éviter des efforts inutiles.
Attacher son chien à l’extérieur du camping-car ?
Nous n’attachons qu’occasionnellement Ulysse à l’extérieur du véhicule. En tant que chien de berger, il n’en voit pas trop l’intérêt, et préfère être près de nous.
Quand cela arrive, nous attachons la longe aux rétroviseurs du camping-car, mais sachez qu’il existe des points d’ancrage spéciaux à bloquer sous les roues pour éviter d’arracher le rétro.
Lors de nos sorties en nature, il reste généralement détaché si la législation le permet, à condition que l’environnement soit sûr et que son écoute soit optimale. Nous ajoutons systématiquement une médaille avec nos coordonnées à son collier pour parer à toute éventualité.
Les traceurs GPS comme le Tractive Dog peuvent également être utiles pour les chiens ayant tendance à partir loin et risquant de se perdre. Nous en reparlerons dans un article dédié.
Conseils pour voyager avec un chien en camping-car
Depuis qu’Ulysse a rejoint l’aventure, certains outils sont devenus indispensables pour le camping-car que ce soit pour l’hygiène, la sécurité, ou l’occupation calme. Voici la liste de ce que nous estimons essentiel :
Nos équipements indispensables à l’intérieur
- Une pelle-balayette, des brosses collantes pour enlever les poils qui ont tendance à se glisser partout, surtout en période de mue ;
- Une bonne réserve de serviettes, voire un peignoir pour chien, très utiles pour les temps pluvieux ;
- Une ceinture de sécurité et un harnais pour sécuriser votre chien pendant les trajets.
- Ses jouets préférés
- Des friandises de mastication longue durée (Ulysse a définitivement adopté Canigourmand pour ces friandises à la fois variées et de qualité)
- Tapis de fouille, que vous pouvez acheter ou fabriquer vous-même
Apprentissage de la solitude
Comme mentionné plus haut, nous avons pris soin d’habituer Ulysse à rester seul dans le véhicule dès son plus jeune âge.
Cette habitude est essentielle, car nos compagnons ne peuvent pas toujours nous accompagner, que ce soit pour faire des courses, visiter certains lieux, aller au restaurant ou partir en randonnée dans des parcs naturels (nationaux et régionaux) où les chiens ne sont parfois pas autorisés.
Bien sûr, nous privilégions toujours les randonnées où sa présence est permise, mais ce n’est pas toujours possible.
Pour réduire le stress lors de nos absences, nous avons utilisé plusieurs solutions pratiques :
- Les jouets à remplir de friandises, comme le Kong, qui occupent Ulysse tout en l’aidant à se détendre ;
- Les tapis de léchage, très efficaces pour canaliser son énergie et l’apaiser ;
- Les friandises de mastication naturelles, quand nous sommes absents, nous veillons à ce que ce soit des friandises de mastication sans aucun risque d’étouffement.
Cette routine a grandement contribué à ce qu’Ulysse reste serein, même dans les moments plus calmes ou limités en activité.
Canigourmand : Le coup de cœur d’Ulysse
Canigourmand est une marque française de friandises naturelles que nous avons testée et définitivement adoptée ! On vous la conseille vivement pour la qualité de ses produits, transformées en Europe et en France. Lorsque Ulysse était chiot, il était difficile de trouver des friandises de mastication qui ne s’effritaient pas, ne provoquaient pas de diarrhées et ne comportaient pas de morceaux pointus pouvant être dangereux. Avec son caractère nerveux, la mastication l’aidait à se poser, tout en contribuant à sa santé dentaire.
Grâce à Canigourmand, nous avons trouvé des produits adaptés et variés : le fromage de yack, les sabots de veau et oreilles de boeuf ont été des valeurs sûres quand il était chiot. En grandissant, il a apprécié d’autres options comme la peau d’esturgeon, la corne de buffle, la peau de cerf ou encore la trachée de bœuf, qu’il adore. Une option idéale pour le récompenser tout en prenant soin de lui !
Cerise sur la friandise, nous avons réussi à négocier avec la marque, 10 % de réduction sur tout le site pour nos abonnés avec le code promo PERIPLETIES10 : n’hésitez pas à en profiter pour gâter vos loulous !
Gérer la chaleur dans le camping-car
En France, il n’existe pas de disposition spécifique dans le Code de la route concernant le fait de laisser un chien seul dans un véhicule, contrairement à la Suède, par exemple, où il est interdit de laisser un chien dans une voiture si la température extérieure dépasse 18 °C.
Ainsi, il est essentiel de faire preuve de bon sens. En été, cela signifie qu’il ne faut jamais laisser votre fidèle compagnon enfermé dans un véhicule, même pour une courte durée.
Malheureusement, tous les véhicules ne se valent pas en matière d’isolation thermique. En tant que propriétaires d’un camping-car, nous avons la chance de bénéficier d’une isolation structurelle supérieure à celle des fourgons ou vans, comme nous avons pu le constater lors de divers tests de véhicules. Cette meilleure isolation rend la gestion de la chaleur plus facile à bord, (mais ne dispense pas d’une extrême vigilance.)
Est-ce que les campings acceptent les chiens ?
La plupart des aires et zones d’accueil pour camping-cars acceptent les chiens, mais bien souvent avec un supplément de prix ajouté à votre emplacement. Objectivement, nous trouvons parfois ces tarifs élevés pour les services proposés.
En effet, il est rare de trouver des parcs à chiens ou des espaces dédiés où ils peuvent réellement se défouler. Comme les chiens doivent être tenus en laisse, cela ressemble souvent et davantage à un simple droit d’accès qu’à une réelle prestation.
Pour notre part, qui avons peu recours aux campings, ces limitations nous dissuadent encore davantage d’y séjourner régulièrement.
Campings et locations : planifier un minimum à l’avance
Que ce soit pour les campings ou les locations, il est préférable de privilégier des lieux “dog-friendly” et de voyager autant que possible hors saison pour plus de flexibilité. Certes, cela peut fermer certaines portes, mais cela en ouvre souvent d’autres, plus agréables. Les établissements qui acceptent les chiens – sont souvent de grande qualité et particulièrement bienveillants, tant envers les chiens qu’envers leurs propriétaires. Comme quoi, voyager avec un chien peut parfois réserver de belles surprises !
Voici quelques liens utiles de structures pour camper et voyager accueillant les chiens :
- les campings ACSI en Europe
- les emplacements chez l’habitant Campspace x HomeCamper
- les locations de camping-car avec Yescapa
Ce que voyager avec un chien a changé pour nous (pour l’instant)
Ulysse est devenu un membre à part entière de nos aventures. Désormais, pour toutes nos futures destinations, nous savons qu’il faut compter avec lui : se renseigner à l’avance et ajuster nos choix. Cela apporte de nouvelles questions, mais toujours beaucoup de joie.
Voyager en France et en Europe
En France et en Europe, notamment en Union européenne, voyager avec un chien pose très peu de problèmes. Nous mesurons la chance que nous avons : dans les pays que nous avons explorés jusqu’à présent avec lui, l’Italie en camping-car, la Suède, l’Allemagne ou encore le Danemark. Il est facile de promener son chien en liberté à condition d’avoir le contrôle de la situation. Les seules exceptions concernent :
- Les périodes de reproduction des animaux sauvages ;
- Certains parcs nationaux, où l’accès peut être limité ou soumis à la tenue en laisse.
Ces règles nous semblent tout à fait raisonnables et n’ont pas entravé nos voyages.
Tour d’Europe et Tour du Monde avec son chien
En y repensant, passeport et certificat de vaccination en poche, nous pensons qu’Ulysse aurait pu nous accompagner dans la grande majorité de nos étapes de tour d’Europe.
Grâce aux retours d’autres globetrotteurs, nous savons que l’Angleterre est souvent citée comme exemplaire pour l’accueil des chiens.
Nous aurions toutefois été plus prudents dans certains pays, comme les Balkans, la Roumanie ou encore la Bulgarie, où la présence de chiens errants peut poser un problème, ou dans certaines grandes capitales moins adaptées à son bien-être.
Adapter ses voyages ?
En Amérique du Nord, les règles concernant les chiens sont apparemment plus strictes. Par exemple, au Québec, il est rare de pouvoir détacher son chien dans les espaces publics, et certaines régions imposent des longueurs de laisse. Les parcs nationaux, quant à eux, limitent ou interdisent l’accès des chiens.
L’avion avec son chien
Voyager avec un chien à l’international pose également la question du transport, notamment par avion, une décision à ne pas prendre à la légère selon l’état de santé et émotionnel de nos animaux de compagnie.
À l’heure actuelle, nous évitons les environnements trop urbains ou denses, comme certaines grandes villes où la circulation et le bruit peuvent être stressants pour notre jeune Ulysse.
Cependant, pour des séjours en ville, nous avons déjà trouvé des alternatives adaptées. À Göteborg en Suède, par exemple, un AirBnB à 10 minutes à pied nous a coûté moins cher qu’un camping situé à 20 minutes en transport, tout en offrant un cadre calme pour Ulysse.
Une communauté pour partager et s’entraider
Ce qui est certain, c’est qu’Ulysse nous pousse à passer encore plus de temps dans la nature et à profiter pleinement de l’instant présent. Et c’est, de toute façon, ce que nous préférons.
Enfin, nous ne sommes pas les premiers à voyager avec un chien, et les réseaux sociaux regorgent de personnes prêtes à partager leurs expériences. C’est une mine d’or pour trouver des astuces ou poser des questions en cas d’inquiétude.
D’ailleurs, avez-vous des expériences ou des astuces à partager sur les voyages avec un chien ? Nous attendons vos commentaires avec impatience ! 😊
À bon voyageur, salut ! 👋
Pauline & Simon
N.B. : Cet article contient des liens affiliés. Si vous envisagez un achat, n’hésitez pas à passer par ceux-ci pour soutenir la réalisation de nouveaux articles. Une petite commission nous sera reversée (sans surcoût pour vous).
Laisser un commentaire